Agustin Galiana : «Ce rôle, c’est du sur-mesure»

Ce mardi 8 octobre à 20h25, La Une diffuse «Coup de foudre en Andalousie». Rencontre avec l’acteur principal de ce téléfilm : Agustin Galiana. 

Quelle est l’histoire de « Coup de foudre en Andalousie » ? 

C’est l’histoire d’un jeune homme qui s’appelle Alvaro, il tient un business familial d’élevage de chevaux en Andalousie. Il va se marier avec une Française, et celle-ci va disparaître en même temps que sa sœur arrive pour fêter le mariage. On va donc entreprendre un road-trip pendant quelques jours pour la retrouver. 

C’est un rôle qui vous convient parfaitement. Il a été fait spécialement pour vous ? 

La production a écrit le personnage pour moi, c’est du sur mesure pour moi. 

Comment vous choisissez les rôles à interpréter au cinéma ou à la télévision ? 

Pour moi, c’est l’histoire le plus important. Cela doit me toucher. Si j’ai la chance aussi d’avoir un partenaire hyper intéressant pour apprendre, alors cela me va. Je m’en fous d’avoir un petit ou grand rôle, l’important est de pouvoir défendre des valeurs humaines et de faire rêver le public. 

L’histoire dans ce téléfilm diffusé sur La Une vous a donc plu ? 

Ici, c’est de montrer la beauté de mon pays et de faire rêver le public avec ce voyage en Andalousie. Je vais aussi pouvoir montrer mes racines et raconter une histoire d’amour. C’est la première fois qu’une chaîne me donne le premier rôle d’un projet, cela montre la confiance de la chaîne et pour moi, cela me permet de développer un vrai personnage et de montrer les détails d’une interprétation. 

Vous êtes aussi un personnage de la série «Clem». Va-t-elle revenir ? 

Oui, on a commencé à tourner il y a 10 jours. Le scénario va changer, on va partir sur un esprit lumineux, solaire. On retrouvera mon personnage avec des problèmes mais ça va être une saison qui va être dans la comédie. 

Vous avez gagné «Danse avec les stars», Hapsatou Sy a dévoilé que la production favorisait certains candidats s’ils acceptaient de créer une histoire avec leur famille. C’est le cas ? 

Non, pendant les trois mois que j’ai fait, j’étais moi-même. J’étais heureux que ma famille vienne me voir. On ne m’a jamais convoqué pour me demander quelque chose, j’ai eu une liberté totale. Après, on nous impose les danses mais il faut que la direction artistique trouve une harmonie pour chaque prime. Je me suis beaucoup amusé, j’ai beaucoup galéré aussi mais c’était un rêve et en même temps de la souffrance. 

Quels sont vos projets ? 

Je suis sur le tournage de «Clem» jusqu’à fin janvier, on me retrouve aussi au théâtre dans une pièce de Laurent Ruquier à Paris. Je viens aussi de commencer le tournage d’un film de cinéma avec Judith Chemla. En novembre, je vais démarrer aussi l’enregistrement de mon nouvel album. Je vais être à Bruxelles en concert, cela va être annoncé bientôt. Et je serai les 24 et 26 avril à Liège. J’ai hâte de retrouver le public belge. 

C’est difficile de faire du cinéma quand on a fait «Danse avec les stars» ? 

Je suis content que le cinéma m’ouvre les portes et que les producteurs n’aient pas peur de me donner des rôles. On ne va pas se mentir, faire «Danse avec les stars», cela donne de la popularité mais ça t’enlève de la légitimité dans ton métier. On te dit : « Ah non, c’est le gagnant de Danse avec les stars, ce n’est pas un vrai comédien. » Il y a un vrai travail après pour prouver que tu es un vrai chanteur ou comédien. 

L’interview à découvrir en 3 parties ci-dessous :