5 programmes Netflix dont on a oublié l’existence et qui méritent d’être (re)vus

Avec Netflix, nous sommes servis chaque semaine de nouveautés. Des films, des séries, des animés, des documentaires… on ne sait jamais quoi regarder ! Et pourquoi ne pas revenir sur des émissions qui nous ont enchantés jadis ? Récap’ de cinq productions Netflix qui ont marqué les esprits et qui méritent d’être (re)vus…

L’Histoire des gros mots (série documentaire)

Pitch : À travers plusieurs entretiens avec des experts en étymologie et en culture pop, des historiens et des artistes, cette série en six épisodes remonte aux origines des mots « Fuck », « Shit », « Bitch », « Dick », « Pussy » et « Damn ».

Notre avis : Ne vous êtes-vous jamais demandé d’où viennent les gros mots ? Et comment le sont-ils devenus ? Si «L’Histoire des gros mots» est pédagogique, la série est aussi amusante. Le second degré de Nicolas Cage fera sourire plus d’un.

Ares (série)

Pitch : Rose, une étudiante en médecine, est convoitée par une société secrète du nom d’Ares. Cette «secte» composée des plus grands privilégiés est difficile à atteindre. Bien que la nouvelle initiée ne soit pas d’une riche famille, elle comptera parmi les plus importants des nouveaux venus. Tiraillée entre ses parents, son ambition et ses craintes, Rose garde son sang-froid. Peu à peu, elle découvre que sa nouvelle famille lui réserve une destinée particulière…

Notre avis : Composée de 8 épisodes, la première série néerlandais Netflix emmène les curieux dans un univers sombre, angoissant et mystique. De nombreuses interrogations viendront titiller les fans du genre. Les amateurs seront tout autant emballés. Notamment grâce à son scénario énigmatique. Attention aux âmes sensibles, certaines scènes pourraient choquer.

Le Silence du marais (film)

Pitch : Q est un romancier d’affaires criminelles, qui tue lui-même ses victimes dont il s’inspire pour les personnages de ses romans. Pour son dernier roman, il décide de kidnapper Carreterro, un professeur d’économie à l’université. Or cet enlèvement sème le trouble parmi les personnalités les plus influentes de la communauté valencienne. C’est alors qu’il découvre les liens entre les politiciens et la mafia locale.

Notre avis : Un thriller psychologique nerveux avec Pedro Alonso, vedette de la série «La Casa de papel». Loin des braquages, il incarne un auteur de polar mêlé à une histoire d’enlèvement. Un scénario conventionnel mais néanmoins happant.

I am not okay with this (série)

Pitch : Sydney doit jongler avec une famille abusive, une scolarité bancale, la découverte de sa sexualité et le deuil de son père. Il est difficile pour elle de jongler avec tous ses aspects de la vie. Et si ce n’était que ça ! Elle découvre aussi qu’elle est dotée de superpouvoirs et qu’un étrange individu la suit dans son quotidien…

Notre avis : Mix entre les séries «Stranger Things» et «The End of the F***ing World», cette série brut de décofrage possède une réalisation millimétrée et peps. Le personnage de Sydney est brillamment interprété. Dommage que Netflix a annulé cette pépite venue d’ailleurs…

To the Bone (film)

Pitch : Ellen, 20 ans, atteinte d’anorexie mentale, entreprend sous la houlette d’un médecin peu conventionnel un voyage poignant mais parfois drôle à la découverte d’elle-même.

Notre avis : Le sujet de l’anorexie à la télévision ou au cinéma n’est clairement pas élémentaire. Touchant, plein d’espoir, le film montre la dure réalité de la maladie et les répercussions sur la famille. Lily Collins est époustouflante. L’un de ses meilleurs rôles !