3 choses à savoir sur la spéciale Johnny Hallyday de «69 minutes sans chichis»

3 choses à savoir sur la spéciale Johnny Hallyday de «69 minutes sans chichis»
Julien Vandevenne
Julien Vandevenne Rédacteur en chef adjoint

Ce jeudi 10 septembre à 20h25 sur La Deux, Joëlle Scoriels entame sa saison avec une interview exceptionnelle de la star du rock français !



1. De nombreux mois de négociations et de tractations

Pour la première fois de l’histoire de «69 minutes sans chichis», l’enregistrement ne s’est pas déroulé en plateau, mais bien dans le sud de la France !

En réalité, après moult négociations et reports, la rencontre a pu avoir lieu à Monaco, en juillet dernier, à l’occasion de la tournée «Rester vivant» du rockeur.

«Cela n’a pas été sans peine», admet Joëlle Scoriels. «Un vrai feuilleton ! La rencontre était approuvée depuis février, mais la mise en œuvre concrète a pris du temps. Il avait été question qu’on parte à Los Angeles, puis à Nîmes. Nous nous sommes rendus à Biarritz où Johnny se produisait en festival. Nous n’avons pas eu l’interview, mais n’avons pas perdu notre temps puisque nous avons pu rencontrer sa garde rapprochée : son manager, son tourneur… Une semaine plus tard, nous avons repris l’avion pour Monaco.»

2. Johnny séduit par les cuberdons et le speculoos de Joëlle…

Lors de rencontres avec des stars comme Johnny Hallyday, les journalistes n’ont généralement pas le temps de tergiverser : les managers veillent à ce que leurs «poulains» ne se fatiguent pas trop, en limitant au maximum la durée du rendez-vous.

«Nous savions tous les deux que le temps était compté, nous avons eu 39 minutes», raconte Joëlle Scoriels. «C’était exceptionnel car il en accorde cinq à la plupart des télés françaises. Nous pouvons considérer que nous avons été gâtés. Et puis, il ne s’était plus exprimé sur une chaîne de la RTBF depuis longtemps. L’entretien s’est déroulé avant son concert. Les conditions n’étaient peut-être pas idéales, mais il s’est détendu. Il était heureux qu’on lui fasse la surprise d’un témoignage de Gad Elmaleh, qu’on lui montre une archive de la RTBF de 1963 et qu’on ait pensé à lui apporter des douceurs de chez nous…»

3. Un dispositif allégé

«Nous sommes partis le voir avec une petite équipe», explique Joëlle Scoriels. «C’était une volonté de l’entourage de Johnny. À Biarritz, on avait emmagasiné le plus d’images possibles. On voulait en faire un maximum. Et le manager n’avait pas du tout apprécié, il trouvait notre dispositif envahissant. Pour Monaco, c’était clair : étaient autorisés un caméraman, un preneur de son, un réalisateur, la directrice des magazines de la RTBF et moi.»

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici