Le film postapocalyptique avec Dylan O’Brien cartonne sur Netflix. Pas encore vu ? Voici trois bonnes raisons de vous précipiter !
Pitch : Un astéroïde s’avance vers la planète Terre. Des missiles sont envoyés pour le détruire. Des particules toxiques tombent. Insectes, amphibiens et autres se transforment en véritables monstres de plusieurs mètres. 95% de l’humanité disparaît, seulement quelques rescapés parviennent à survivre. Sept ans après leur séparation lors du soulèvement des monstres, Joel apprend que sa petite amie du lycée ne se trouve qu’à une centaine de kilomètres de sa colonie. Dans ce monde infesté par des créatures mortelles, Joel va devoir convoquer le héros qui sommeille en lui pour faire face à d’innombrables dangers, sur la route qui le ramènera peut-être à celle qu’il aime.
1. Une amitié qui a du chien !
Pour incarner le héros du film postapocalyptique, le réalisateur, Michael Matthews, a fait appel à Dylan O’Brien, connu pour son rôle de Stiles dans la série «Teen Wolf». L’acteur apporte une touche de légèreté et d’innocence au personnage de Joel.
Ce dernier, attaqué par un batracien assoiffé de sang, est sauvé par un malinois nommé Boy. Il trouve en ce chien un compagnon de route idéal. Une amitié fusionnelle naît. Les spectateurs sont fous de ce duo, classique certes, mais qui réchauffe le cœur.
Un petit clin d’œil à «Je suis une légende» ? On approuve !
2. Effets spéciaux explosifs
L’un des gros points forts de «Love and Monsters» est sans aucun doute ses effets spéciaux. Crabe géant, monstrueux vers ou encore immenses escargots, l’extravagant bestiaire est effroyablement réaliste. Le travail de développement des monstres est exceptionnel. Le spectateur est immédiatement plongé dans l’univers.
Le film est d’ailleurs nommé aux Oscars dans la catégorie meilleurs effets visuels…
3. Une fin inattendue (attention spoilers)
À la lecture du pitch de «Love and Monsters», tout le monde s’attendait à une fin pleine de romance. En effet, après sept jours à la surface, Joel arrive à retrouver sa belle. Malheureusement pour lui, Aimée est passée à autre chose.
Si ce n’est en soi pas une fin «heureuse» et attendue, celle-ci est d’autant plus survoltante. Au cours de son voyage, le jeune adulte a appris à se connaître, à se battre et a lié de nombreuses amitiés. Au départ craintif, le héros a pris du caractère et prouvé à sa colonie qu’il est désormais un meneur. Une quête romantique qui se transforme en quête identitaire…
Pour l’instant, aucune suite n’est prévue par la plateforme. Michael Matthews, réalisateur, semble déjà avoir quelques idées. Une chose est sûre, la fin ouverte du film donne espoir aux fans. En attendant, pour (re)voir le teen-movie, rendez-vous sur Netflix. La bande-annonce :
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