La créativité de «LittleBigPlanet» illumine la console de portable de Sony.
Intronisée en Europe dans l’indifférence générale le 22 février 2012, la PlayStation Vita traîne deux boulets, son prix (249,99 €) et son catalogue réduit de jeux. À l’image de la Nintendo 3DS, la console portable de Sony connaît un démarrage poussif. Alors qu’une sérieuse réduction du prix s’est chargée de relancer dignement la 3DS, Sony ne semble pas décidé à appliquer une telle stratégie. Dans ce contexte peu encourageant, la sortie de «LittleBigPlanet» (39,99 €) redonne des couleurs à une machine déprimée. Valeur sûre sur PlayStation 3 et sur PSP, la mascotte Sackboy débarque sur l’écran tactile de la PS Vita avec une bonne humeur communicative. Au menu, cinq mondes et quarante niveaux bourrés de pièges à éviter et de plates-formes à escalader. Une fois ce contenu digéré, libre à vous de télécharger les niveaux conçus par les autres joueurs. La durée de vie en devient quasiment infinie.
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