Vincent Taloche s’est confié à notre journaliste David Barbet dans le cadre du podcast « Face à la juge Gruwez», à découvrir sur Auvio. Rencontre avec l’humoriste.
Avez-vous déjà pensé à vous séparer de votre frère ?
On n’a jamais eu l’envie de se séparer, mais on l’a déjà fait pour quelques projets. J’ai joué deux fois au cinéma seul. Je joue aussi le répertoire de Bourvil sur scène en solo. Nous avons fêté nos 30 ans et nous espérons bien fêter nos 40 ans sur scène !
Vous avez un physique atypique, un visage qu’on n’oublie pas…
En effet. Cela a été une force dans mon métier. Je n’ai jamais travaillé de grimaces de ma vie. Pour moi, ce sont des expressions. Si je faisais une grimace, elle ne serait pas efficace. J’ai toujours été à l’aise avec ma tête. Les gens me trouvent sympathique et non bizarre.
Vous êtes aussi producteur de spectacles, racontez nous une anecdote sur votre carrière.
J’ai été planté par un organisateur de spectacles. Quelqu’un de malhonnête. Je produisais Virginie Hocq en Alsace et il m’a fait deux chèques en bois. C’était l’équivalent de 16.000 € que je n’ai jamais revus. Je n’ai pas porté plainte. Un huissier est venu le trouver mais il n’était plus là.
