Philippe Boxho nous raconte ses meilleures histoires
Le médecin légiste liégeois Philippe Boxho sort un troisième livre intitulé «La Mort en face».
Pour Télépro, il nous dévoile quelques histoires en lien avec des morts spécifiques.
La mort avec une cheminée : « J’ai eu plusieurs personnes qui ont fait ça. Il y en a un qui a planqué des corps dans la cheminée mais cela finit toujours par sentir. Dans le congélateur, ça va si personne ne l’ouvre. L’odeur est immonde quand tu mets quelqu’un dans une cheminée. »
Une fausse mort : « Un type devant moi pour un permis de conduire, je devais vérifier son état pour dire s’il était apte à conduire. Je lui pose des questions, il m’amène une partie de son dossier médical. Tout d’un coup, il pique du nez. Il y avait un pouls très lent. Il était en état de mort apparente. Il reprend conscience par la suite. »
Autre histoire : « Une dame est morte, elle est mise dans un cercueil. J’arrive sur le lieu et je vois le cercueil vide avec une personne morte devant le cercueil. Je me suis demandé comment la personne a fait pour sauter de son cercueil. Les flics étaient mort de rire. En fait, la dame qui était dans le cercueil n’était pas morte. Elle s’est redressée dans son cercueil et elle a vu sa voisine devant elle. La voisine est morte d’un choc émotionnel. »
Mort de rire : « C’est possible. Quand tu ris, tu expulses l’air dans tes poumons. Si on comprime vraiment, le sang ne revient pas, le cœur peut s’arrêter par défaut de retour sanguin. »
Votre mort : « Je ne pense pas à ma mort, je m’en fous. Cela arrivera quand ça arrivera. Je ne crois pas à la vie après la mort. »
Mourir de jalousie : « Je ne crois pas qu’on puisse mourir par jalousie. L’autre mec hérite d’une femme qui trompe. »
Retrouvez la suite des histoires de Philippe Boxho en vidéo ci-dessous :
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