Olivier Minne : «J’ai mis un peu de Belgique dans ce livre»
Cet été, l’animateur de «Fort Boyard» ajoute une corde à son arc en sortant son premier roman, dans lequel il nous ouvre la porte d’un célèbre hôtel hollywoodien.
Après la biographie de Louis Jourdan et le livre sur les speakerines, vous passez à la vitesse supérieure avec «Un château pour Hollywood», un roman qui se déroule dans l’établissement mythique Château Marmont. Pourquoi cet hôtel ?
Pour être honnête envers vos lecteurs, ce n’est pas moi qui l’ai choisi, mais mon éditeur. Après avoir lu mon premier livre sur Louis Jourdan, il m’a lancé le défi d’un roman qui se passe dans ce château qui est un lieu en lui-même très romanesque. Je ne connaissais pas grand-chose de son histoire, seulement les basiques. Entre toutes mes autres activités à Los Angeles et à Paris, il m’a fallu trois ans pour écrire ce livre.
L’histoire raconte la vie d’une ancienne actrice, Abigail Fairchild, arrivée par hasard dans ce château et qui en devient propriétaire. Cette femme très coquette porte même des tenues venant de Belgique. Hasard ou pas avec votre nationalité belge ?
Disons que j’ai mis un petit peu de belgitude là-dedans, je n’allais pas m’en priver. Mais d’un autre côté, le lin de Belgique est un tissu très apprécié aux États-Unis. Il est considéré comme étant de très grande qualité. Cela coûte des fortunes.
Ce roman va-t-il connaître une suite, car il le laisse présager ?
J’ai toujours aimé les intrigues qui autorisaient les lecteurs à s’imaginer une suite et c’est vrai, la manière dont je termine l’histoire peut donner l’idée d’un second volet.
Découvrez la suite de cette interview dans le magazine Télépro paru le 23/7/2020
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