Nos bons conseils pour choisir vos films d’Halloween
À l’approche de la date fatidique d’Halloween, il est grand temps de se concocter une soirée DVD ou VOD digne de ce nom : rires sadiques, frissons et monstruosité, rien ne sera trop affreux pour passer le week-end à trembler au moindre craquement de parquet !
Vous avez posé un congé ce lundi 31 octobre pour profiter d’un long week-end ? Voici de quoi vous occuper en famille ou entre amis. Un conseil : ne prévoyez pas de rester seul ces prochaines 72 heures…
Les grands classiques
Le temps d’une soirée, replongez-vous dans l’univers des films classiques, en noir et blanc, qui ont vu naître les monstres qui peuplent aujourd’hui nos pires cauchemars. Alfred Hitchcock est sans aucun doute le roi du suspense : avec des films comme «Les Oiseaux» ou «Psychose», il a eu le don de faire frémir plusieurs générations de spectateurs qui ne savent plus voir un corbeau en peinture…
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Tod Browning et ses «Freaks» ou «Dracula» ne sont pas en reste. Même si nos monstres actuels sont bien plus sanglants qu’en 1930, les freaks de l’époque se regardent toujours blottis au fond d’un divan, une couverture prête à nous cacher les yeux !
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Les vues subjectives
Le concept a fait fureur après la sortie du film «Le Projet Blair Witch» : une bande vidéo a été retrouvée en pleine forêt et retrace le parcours de trois jeunes partis réaliser un reportage sur la sorcellerie. Filmé caméra à l’épaule pour un rendu plus réel, faisant la part belle aux apparitions surprises en face caméra et laissant généralement planer le doute quant à la fin du récit, ce type de film ne saura laisser personne indifférent tant il se base sur un stress latent et permanent.
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Dans la même veine, la série des «REC» de Jaume Balagueró et Paco Plaza. Filmés «en direct», avec des apparitions bien amenées et des hors-champs angoissants, ils restent incontournables pour une soirée traumatisante.
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Exorcisme, spiritisme et fantômes
En voilà un sujet qui inspire ! Des esprits maléfiques, des prêtres récitant des paroles sacrées en agitant des flacons d’eau bénite, des chaises qui volent, des poupées malsaines, des personnages aux voix de démon et tous les ingrédients sont réunis pour vous empêcher de dormir pendant 4 jours.
«L’Exorciste» de William Friedkin, sorti en 1973, est sans doute LE film qui a lancé cette veine de récits mettant en scène des cas mystiques étranges et parfois non résolus. S’en sont suivis «Le Rite» de Mikael Hafstrom, «The Ward» de John Carpenter, «Annabelle» de John R. Leonetti et «The Conjuring 1 et 2» de James Wan, par exemple, qui jouent constamment sur des faits paranormaux inexpliqués et continuent de heurter la sensibilité de bon nombre d’entre nous.
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Et quand les fantômes s’en mêlent, rien ne va plus… «L’Orphelinat» de Juan Antonio Bayona ou «The Grudge» du réalisateur japonais Takashi Shimizu mettent en avant un univers hanté et des familles de revenants. Mythe ou réalité ? Ce sera à vous d’en juger.
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Les torturés mentaux
Avec les personnages possédés, les malades mentaux sont sans doute les pires, toutes catégories confondues. En cause, un principe très simple : «Et si ce genre de personnes existait vraiment ?». D’une apparence humaine souvent plus ou moins normale, elles amènent une ambiance sombre et oppressante aux récits et provoquent chez le spectateur un sentiment de malaise extrême.
«Le Silence des agneaux» de Jonathan Demme, centré sur un cannibale psychopathe, est certainement le plus emblématique. «Le Collectionneur» de Gary Fleder, «Das Experiment» de Oliver Hirschbiegel ou «Shining» de Stanley Kubrick tiennent aussi une place toute particulière dans cette catégorie.
Faisant abstraction des scènes gore trop évidentes et des surgissements intempestifs, ces films préfèrent se concentrer sur l’angoisse provoquée par les mouvements de caméra ou l’esprit tordu du personnage principal. Schizophrénie, hôpitaux psychiatrique et mystères sont les héros de ces récits où le spectateur se perd jusqu’à se demander si Hannibal Lecter n’est pas caché sous le lit…
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Du sang et des monstres
Estomacs les plus sensibles s’abstenir : vous y croirez moins qu’aux fantômes mais vous allez certainement régurgiter votre souper. Dans des mises en scène complètement surréalistes et un univers improbable (quoi que…), les films gore et de monstres sont difficiles à regarder. Ça pisse le sang, ça tronçonne en série, ça tue en masse, ça se fait manger par des animaux enragés et ça dérange.
De «Massacre à la tronçonneuse» de Tobe Hooper à «Détour mortel» de Rob Schmidt en passant par «The Descent» de Neil Marshall, vous n’en ressortirez pas indemnes.
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Pour se plonger à fond dans cet univers dégoûtant peuplé de morts-vivants, d’aliens bicéphales ou de dérangés mentaux, une série de 7 films : «Saw». Les victimes sont choisies par un tueur qui leur indique la seule manière de rester en vie. Le but du jeu : se torturer physiquement et psychologiquement pour se libérer.
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D’une violence extrême et particulièrement sanglants, ces films seront parfaits pour terminer la soirée… en laideur !
Floriane Nyssen
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