Avec «R.E.D.» (Rythmes Extrêmement Dangereux), son nouvel album, il fête en beauté ses dix ans de carrière. Rencontre.
L’aventure de «Robin des bois» a visiblement renforcé votre voix. Vous en faites ce que vous voulez !
L’évolution est flagrante. J’ai tellement chanté, tous les soirs, durant douze mois. La voix est un muscle. Et j’ai enregistré l’album durant la tournée. J’étais en pleine possession de mes moyens. Je me suis éclaté en studio, j’allais dans les voix de tête, les voix pleines, je montais, je descendais…
En plus de la pop, vous tâtez des rythmes africains. C’est plutôt inattendu…
Je fais des morceaux qui me font du bien. Je me fous du concept. Je voulais faire danser. On sera vingt-cinq sur scène, avec le band, les danseurs… Je vis sur scène. C’est là que mes albums prennent tout leur sens.
M. Pokora s’entend mieux avec Matthieu Tota (son vrai nom, ndlr) ?
Oui ! (rire) Mon métier et M. Pokora me servent et me rassurent en tant qu’homme. Je suis en totale harmonie. À 19 ans, M. Pokora voulait imiter ses idoles américaines. Mais je n’ai aucun regret.
Entretien : Caroline GESKENS
Découvrez la suite de l’interview dans Télépro, dès ce mercredi 4 mars en librairies !
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