À partir du 16 juin au cinéma, Josiane Balasko et Mathilde Seigner sont mère et fille pour leur nouveau film «Un tour chez ma fille». Une comédie hilarante sur le retour de la maman chez sa fille alors que le couple de sa fille va au plus mal.
Rencontre avec ces deux actrices-phares du cinéma français.
Dans ce film, la cohabitation ne va pas être simple. Expliquez-nous pourquoi.
J.B : Oui, mon personnage est un peu difficile, elle n’en fait qu’à sa tête, elle va foutre la m… Elle s’installe pour deux ou trois jours, et après ça va s’allonger…
M.S : Quand on a une maman qui sonne à sa porte, on ne peut pas dire non. Bon, elle arrive avec dix-sept bagages, ça c’est un autre débat…
Est-ce qu’on recopie toujours les manies, erreurs de ses parents ?
J.B : Cela peut arriver, c’est un peu inconscient. Je n’ai pas l’impression de répéter mes parents.
Reverra t-on une suite pour «Les Bronzés» et «Camping» ?
J.B : Il faudrait qu’on se dépêche quand même. Il n’y a pas de projet, il faut réussir à réunir tout le monde.
M.S : Le Splendid, ce n’est pas pareil que «Camping». «Camping», pour moi, c’est non. Je n’ai pas fait le 3. Cela ne reviendra jamais avec moi, ça s’épuise à mort.
Dans «Un tour chez ma fille», on voit le personnage de Josiane Balasko qui regarde «Demain nous appartient». Est-ce qu’on vous a proposé de jouer dans un feuilleton quotidien ?
J.B : On ne me l’a pas proposé mais je ne le regrette pas. Cela ne m’intéresse aucunement de bosser des mois et des mois pour une série. C’est trop de boulot.
M.S : J’ai participé à une série intitulée «Une si longue nuit» qui va passer en septembre sur TF1
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