Jacques Mercier : «J’ai perdu 50.000 euros concernant mes droits d’édition»
Jacques Mercier s’est confié à notre journaliste David Barbet dans le cadre du podcast «Face à la juge Gruwez» à découvrir sur Auvio. Rencontre avec l’écrivain/présentateur.
Dans une interview, vous avez déclaré « avoir été très heureux dans votre vie », qu’est-ce qui vous rend malheureux ?
L’injustice, la torture, le déboisement, cela me rend malheureux de savoir que cela existe. Dans ma vie privée, je peux pleurer en écoutant certains morceaux de musique, je peux aussi pleurer de rire par exemple en regardant un bêtisier.
Vous parlez souvent de rire, qu’est-ce qui se cache derrière ce sourire permanent ?
C’est par politesse que je n’expose pas mes failles. Il y a un poème que j’ai écrit qui me fait pleurer à chaque fois. Cela m’arrive d’être triste. Je retombe assez vite sur mes pieds. Hier soir, j’avais un problème et je l’ai réglé. Une personne m’a répondu avec une forme de trahison ou de chantage et ça c’est quelque chose que je déteste.
Vous avez sorti un livre intitulé « Les Clairières de ma vie », avez-vous déjà eu quelques problèmes avec un éditeur ?
J’ai été victime d’un éditeur. On a ajouté une chose dans un contrat et cela m’a enlevé 50.000 euros concernant mes droits. Si je prenais un avocat, cela aurait duré des années et j’aurais été épuisé. Inutile de dire que je ne salue pas ce monsieur quand je le croise parfois.
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