Ipswich célèbre Ed Sheeran, l’ado du coin devenu star de la pop
La ville méconnue d’Ipswich, dans le Suffolk (est de l’Angleterre), célèbre Ed Sheeran, l’ancien gamin du coin devenu star de la pop, dans une exposition retraçant le parcours fulgurant du chanteur.
À 14 ans, Ed Sheeran faisait son premier concert, à Framlingham, à une centaine de kilomètres au nord de Londres, devant une trentaine de personnes. Quatorze ans plus tard, il revient dans la région avec quatre concerts cette semaine à Ipswich, la capitale du Suffolk, clôturant une tournée internationale de deux ans pendant laquelle il s’est produit devant près de 9 millions de personnes.
A quelques jours de son retour au pays, une exposition baptisée « Made in Suffolk », retrace à partir de mardi le parcours du compositeur et interprète du succès mondial « Shape of You » (2017) dont la fortune est évaluée à 160 millions de livres.
Y transpire sa détermination à percer dans la musique et le soutien sans faille de ses parents, qui vendaient les produits dérivés lors de ses concerts.
A Ipswich, la superstar fait office de héros . Dans le centre-ville, le pub The Swan vend cartes postales et autres produits dérivés et conserve même dans une boite en plexiglas une bouteille de ketchup « au cas où Ed viendrait », la star en étant, paraît-il, friand.
Pour le chanteur Barny Holmes, qui faisait des boeufs avec lui il y a une dizaine d’années, le succès d’Ed Sheeran s’explique en partie parce que « tout le monde peut s’identifier » à ce jeune homme « humble », dit-il à l’AFP après un concert dans ce pub.
« On ne s’attend pas à ce que ce gars adorable ait autant de présence et soit si doué. Je crois que c’est pour ça qu’il a inspiré tellement de gens, c’est l’effet Ed Sheeran ».
Une sculpture en bronze représentant Ed et son frère, enfants, s’enlaçant, est exposée, ainsi que plusieurs dessins dont un autoportrait inspiré par Andy Warhol, en orange et noir, ses couleurs fétiches.
Une série de portraits réalisé par le peintre Colin Davidson, pour lequel a posé la reine Elizabeth II, montrent un « Ed plus intime, le Ed qu’on peut voir quand il ne se rend pas compte qu’il y a quelqu’un d’autre dans la pièce », décrit le peintre à l’AFP. « J’aime penser que c’est l’état d’esprit dans lequel il est lorsqu’il crée ou écrit ses chansons », ajoute-t-il.
– Un gars « humble » –
Parmi les pièces maîtresses de cette exposition gratuite et organisée jusqu’au printemps 2020 figurent deux de ses guitares, dont l’une qu’il a baptisée « Cyril » et avec laquelle il a joué plus de 300 concerts en 2009. Est aussi exposée une marionnette à son effigie, utilisée dans le clip de la chanson « Sing ».
A Ipswich, la superstar fait office de héros . Dans le centre-ville, le pub The Swan vend cartes postales et autres produits dérivés et conserve même dans une boite en plexiglas une bouteille de ketchup « au cas où Ed viendrait », la star en étant, paraît-il, friand.
Pour le chanteur Barny Holmes, qui faisait des boeufs avec lui il y a une dizaine d’années, le succès d’Ed Sheeran s’explique en partie parce que « tout le monde peut s’identifier » à ce jeune homme « humble », dit-il à l’AFP après un concert dans ce pub.
« On ne s’attend pas à ce que ce gars adorable ait autant de présence et soit si doué. Je crois que c’est pour ça qu’il a inspiré tellement de gens, c’est l’effet Ed Sheeran ».
Ian Johnson, qui a repéré Ed Sheeran alors qu’il avait 16 ans et l’a aidé à percer, se souvient d’avoir été « très impressionné par la facilité avec laquelle il échangeait avec le public » dès cet âge-là, raconte-t-il à l’AFP.
Sa carrière s’envole dès son premier album, « + », sorti en 2011. Suivent une flopée de tubes (Don’t, Thinking Out Loud, Castle On The Hill) et de récompenses dont quatre Grammy awards.
L’exposition présente à la fois la superstar, immortalisée par le photographe Mark Surridge, enflammant les foules lors de concerts en Allemagne, Australie ou aux Etats-Unis, mais aussi un côté plus privé du chanteur, souvenirs de famille à l’appui.
Une sculpture en bronze représentant Ed et son frère, enfants, s’enlaçant, est exposée, ainsi que plusieurs dessins dont un autoportrait inspiré par Andy Warhol, en orange et noir, ses couleurs fétiches.
Une série de portraits réalisé par le peintre Colin Davidson, pour lequel a posé la reine Elizabeth II, montrent un « Ed plus intime, le Ed qu’on peut voir quand il ne se rend pas compte qu’il y a quelqu’un d’autre dans la pièce », décrit le peintre à l’AFP. « J’aime penser que c’est l’état d’esprit dans lequel il est lorsqu’il crée ou écrit ses chansons », ajoute-t-il.
– Un gars « humble » –
Parmi les pièces maîtresses de cette exposition gratuite et organisée jusqu’au printemps 2020 figurent deux de ses guitares, dont l’une qu’il a baptisée « Cyril » et avec laquelle il a joué plus de 300 concerts en 2009. Est aussi exposée une marionnette à son effigie, utilisée dans le clip de la chanson « Sing ».
A Ipswich, la superstar fait office de héros . Dans le centre-ville, le pub The Swan vend cartes postales et autres produits dérivés et conserve même dans une boite en plexiglas une bouteille de ketchup « au cas où Ed viendrait », la star en étant, paraît-il, friand.
Pour le chanteur Barny Holmes, qui faisait des boeufs avec lui il y a une dizaine d’années, le succès d’Ed Sheeran s’explique en partie parce que « tout le monde peut s’identifier » à ce jeune homme « humble », dit-il à l’AFP après un concert dans ce pub.
« On ne s’attend pas à ce que ce gars adorable ait autant de présence et soit si doué. Je crois que c’est pour ça qu’il a inspiré tellement de gens, c’est l’effet Ed Sheeran ».
Dans un montage vidéo compilant des images de ses premiers mois à l’âge adulte, on voit le jeune garçon à la bouille ronde et aux cheveux roux s’essayer au piano, à la batterie et bien sûr à la guitare, toujours un léger sourire flottant sur les lèvres.
– Ed intime –
Collégien, Edward Christopher Sheeran participe à la chorale et joue du violoncelle dans l’orchestre de son école à Framlingham, animant également les soirées de ses camarades d’école. Il joue aussi dans la rue, étui de guitare posé devant lui pour récolter quelques pièces, comme le montre une photo prise à Galway, en Irlande. Il n’a alors que 13 ans.
Ian Johnson, qui a repéré Ed Sheeran alors qu’il avait 16 ans et l’a aidé à percer, se souvient d’avoir été « très impressionné par la facilité avec laquelle il échangeait avec le public » dès cet âge-là, raconte-t-il à l’AFP.
Sa carrière s’envole dès son premier album, « + », sorti en 2011. Suivent une flopée de tubes (Don’t, Thinking Out Loud, Castle On The Hill) et de récompenses dont quatre Grammy awards.
L’exposition présente à la fois la superstar, immortalisée par le photographe Mark Surridge, enflammant les foules lors de concerts en Allemagne, Australie ou aux Etats-Unis, mais aussi un côté plus privé du chanteur, souvenirs de famille à l’appui.
Une sculpture en bronze représentant Ed et son frère, enfants, s’enlaçant, est exposée, ainsi que plusieurs dessins dont un autoportrait inspiré par Andy Warhol, en orange et noir, ses couleurs fétiches.
Une série de portraits réalisé par le peintre Colin Davidson, pour lequel a posé la reine Elizabeth II, montrent un « Ed plus intime, le Ed qu’on peut voir quand il ne se rend pas compte qu’il y a quelqu’un d’autre dans la pièce », décrit le peintre à l’AFP. « J’aime penser que c’est l’état d’esprit dans lequel il est lorsqu’il crée ou écrit ses chansons », ajoute-t-il.
– Un gars « humble » –
Parmi les pièces maîtresses de cette exposition gratuite et organisée jusqu’au printemps 2020 figurent deux de ses guitares, dont l’une qu’il a baptisée « Cyril » et avec laquelle il a joué plus de 300 concerts en 2009. Est aussi exposée une marionnette à son effigie, utilisée dans le clip de la chanson « Sing ».
A Ipswich, la superstar fait office de héros . Dans le centre-ville, le pub The Swan vend cartes postales et autres produits dérivés et conserve même dans une boite en plexiglas une bouteille de ketchup « au cas où Ed viendrait », la star en étant, paraît-il, friand.
Pour le chanteur Barny Holmes, qui faisait des boeufs avec lui il y a une dizaine d’années, le succès d’Ed Sheeran s’explique en partie parce que « tout le monde peut s’identifier » à ce jeune homme « humble », dit-il à l’AFP après un concert dans ce pub.
« On ne s’attend pas à ce que ce gars adorable ait autant de présence et soit si doué. Je crois que c’est pour ça qu’il a inspiré tellement de gens, c’est l’effet Ed Sheeran ».
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