François Pécheux («Au bout c’est la mer») : «Le temps est une valeur importante»
Chaque lundi du mois d’août, François Pécheux vous emmène le long des fleuves dans «Au bout, c’est la mer» sur France 5. Rencontre.
D’où vous vient ce goût pour le voyage ?
Je préfère les rencontres aux voyages. Je suis né à Saumur. Quand j’ai passé 50 ans, beaucoup de sensations sont remontées en moi. Quand on m’a proposé de remonter les fleuves du monde, je me suis dit que j’adorerai ça. Comme le fleuve près de Saumur…
Comment se passe le tournage d’une émission comme celle-ci ?
C’est un truc schizophrène, la caméra doit glisser sur l’instant et ne pas empêcher une rencontre. Je suis entre un voyageur et quelqu’un qui fait un film. Le temps est une valeur importante. Au début, c’était 20 jours de tournage, maintenant c’est 12-14 jours. Après, il y a un mois de montage pour passer de 100 heures de rush à 1h.
Regrettez-vous de ne pas avoir été appelé pour animer «Thalassa» ?
Je ne l’ai jamais demandé. Lorsque je leur ai écrit, après le départ de Georges Pernoux, ce mail a dû circuler et l’émission «Au bout, c’est la mer» est venue à moi.
Son mal de mer, sa famille, ses projets, il nous confie tout dans notre interview :
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