Eva Longoria : «Je savais que j’allais réussir, mais je n’ai jamais dit que je voulais être célèbre»
L’ex-Desperate Housewife s’épanouit aujourd’hui derrière les caméras. Davantage intéressée par la réalisation et la production, Eva Longoria (45 ans) se confie en exclusivité à Télépro, alors que la saison 4 inédite de «Devious Maids», série qu’elle produit, est diffusée sur Plug RTL chaque lundi à 21h55.
Pourquoi vous êtes-vous lancée dans la production de «Devious Maids» ?
Parce que j’ai eu à nouveau l’opportunité de travailler avec Marc Cherry, le créateur de «Desperate Housewives», et que je ne voulais pas manquer cette occasion. Ensuite, parce que j’allais devenir non seulement la productrice de la série, mais aussi la réalisatrice de certains épisodes. Enfin, car «Devious Maids» mettait en valeur des actrices d’origines latines.
N’est-ce pas frustrant de rester derrière la caméra ?
Pas du tout. J’y ai pris beaucoup de plaisir car j’ai pu mettre en avant des actrices latinos – Ana Ortiz, Dania Ramírez, Roselyn Sánchez, Judy Reyes et Edy Ganem – qui sont vraiment talentueuses. Je savais exactement ce que je voulais réaliser. Cela m’a donné une plus grande liberté sur le plan créatif car j’ai pu choisir les scénarios, les techniciens, les scénaristes…
Vous avez débuté votre carrière en gagnant des concours de beauté…
Je ne voulais pas être une reine de beauté. J’étais en dernière année à l’université et manquais d’argent. Il y avait un concours avec des bourses d’études à la clé. Mon amie, qui y participait, m’a dit : «Tu devrais venir parce qu’ils vont payer tes frais de scolarité…» Et j’ai dit : «J’y vais pour voir si je peux au moins arriver à la 5e place, car il y a des livres à remporter.» Et j’ai terminé première, avec un voyage à Los Angeles offert… C’est là que tout a commencé.
Vouliez-vous devenir une star ?
Je savais que j’allais réussir, mais je n’ai jamais dit que je voulais être célèbre. Je disais simplement que je voulais travailler. J’ai grandi en regardant des soaps et lorsque j’ai décroché un rôle dans «Les Feux de l’amour», pour ma mère, c’était comme si j’avais décroché un Oscar ! (Elle rit) Après avoir eu une ligne de dialogue, puis deux, puis trois, puis un rôle plus important, j’ai souhaité réaliser un autre rêve. Ce fut «Desperate Housewives»…
Découvrez la suite de cette interview dans le magazine Télépro paru le 21/5/2020
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