Denzel Washington : «C’est facile de crier au racisme» (interview)
En exclusivité pour Télépro, l’acteur et réalisateur américain de 59 ans revient sur sa carrière et sa vie privée.
Nous avons rencontré Denzel Washington à Toronto, dans une suite du Trump International Hotel & Tower, à l’occasion de la sortie du film «The Equalizer» ce mercredi au cinéma.
Avez-vous l’impression d’avoir dû travailler plus que les autres, à cause de votre couleur de peau ?
Tout le monde doit travailler dur pour réussir à Hollywood. C’est facile de crier au racisme. C’est tout simplement le business de ce métier, rien à voir avec la couleur de peau. Cela s’appelle show-business, mais on aurait plutôt dû appeler cela business show. (il rit)
On dit que vous aimeriez devenir le prochain James Bond. Est-ce vrai ?
Ah, Internet ! Tout ce qui sort de votre bouche est déformé et amplifié avec les réseaux sociaux. J’ai juste répondu à une question en disant que cela m’aurait bien plu de jouer James Bond. Immédiatement, on lit que je vais être le prochain agent 007 ! C’est vraiment incroyable le pouvoir d’Internet !
Quelle est la plus folle rumeur qui a circulé à votre sujet ?
Que j’étais mort ! (il rit) Quelqu’un a osé dire que j’étais décédé dans un accident de ski. Mon téléphone n’a pas cessé de sonner pendant vingt-quatre heures. Les gens qui lancent ces rumeurs ne sont pas créatifs, car c’est toujours au cours d’un accident. Le pire, c’est que je ne skie même pas ! Je me demande s’ils n’avaient pas aussi écrit que c’était en faisant du snowboard…
De notre correspondant à Hollywood : Hervé TROPÉA
La suite de cette interview à découvrir dans le magazine Télépro en librairies ce mercredi 24 septembre 2014
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