Aurore Morisse s’est confiée à notre journaliste David Barbet dans le cadre du podcast «Face à la juge Gruwez», à découvrir sur Auvio. Rencontre avec l’acheteuse.
Vous avez de l’ambition. Quelle est votre ambition ultime ?
Faire du bien autour de moi, c’est mon ambition dans tout ce que je fais, dans ma vie privée comme dans ma vie professionnelle.
On vous retrouve dans l’émission « Affaire Conclue », bouleversée par le départ de Sophie Davant et l’arrivée de Julia Vignali. Avez-vous pensé à animer l’émission ?
En aucun cas. Je suis marchand d’art. Ma fonction consiste à parler des objets, mais pas devant les caméras. J’adore faire des interviews, mais je ne sais pas si je prendrais mon pied à animer une émission sur le long terme.
Que pensez-vous de votre exposition médiatique ?
Ce n’est pas ce que je préfère. J’aime ma petite vie tranquille.
Avez-vous déjà été victime d’abus sans vouloir porter plainte ?
Oui, je me suis tue pour éviter que cette personne ait un casier judiciaire plus important. Je suis allée voir un médecin pour qu’il constate les dégâts : un nez et des côtes cassés. J’ai aussi préféré me taire pour éviter d’être exposée. Alors, j’ai pris mes affaires et je suis partie. Si je portais plainte, sa carrière était foutue. La meilleure chose à faire est de partir, même si c’est très difficile.
