Julien Vandevenne

Trump, l’antihéros

Julien Vandevenne Rédacteur en chef adjoint

Même dans les pires nanards de série B, aucun scénariste n’avait vu venir l’actuel locataire de la Maison Blanche.

Nous avons tous été biberonnés au cinéma hollywoodien. Vous savez, ces films catastrophes où le président américain est toujours quelqu’un de sage et valeureux, prompt à apaiser n’importe quel conflit avec le sourire. Y compris face à des extraterrestres, il parvient à faire triompher les idées de liberté, d’égalité et de fraternité.

Ce qui nous sidère depuis le 20 janvier, c’est que Donald Trump est tout le contraire de cet archétype. Bouillant, outrancier, vindicatif voire haineux à certains égards : c’est plutôt de lui qu’il faut se méfier dans ce piètre scénario…

Il ne reste plus qu’à espérer que comme dans tout film venu d’outre-Atlantique, qu’il soit bon ou mauvais, la bonne vieille règle du «happy end» (fin heureuse) s’impose un jour ou l’autre !

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici