Moscou au lendemain de l’apocalypse nucléaire
Ambiance radioactive au menu de «Metro Last Light» sur PC, PS3 et Xbox 360.
Basé à Kiev en Ukraine, le studio 4A Games développe depuis 2010 la série «Metro» réputée pour son ambiance immersive et sa technique irréprochable. Théâtre des opérations radioactives de ces jeux de tir à la première personne : Moscou au lendemain de l’apocalypse nucléaire et tout particulièrement son métro. Après le «Metro 2033» inaugural, «Metro Last Light» prend le relais sur PC (44,99 €), PS3 (54,99 €) et Xbox 360 (54,99 €). Baigné dans une atmosphère poisseuse, le titre vous invite à combattre contre des hordes de mutants irradiées et la montée en puissance d’un effrayant IVe Reich. Très dirigiste, «Metro Last Light» prend son temps pour poser son histoire et ses enjeux. Entre deux fusillades, il ne faut pas hésiter à s’arrêter pour écouter la moindre conversation et collectionner les objets qui vous en diront plus sur le contexte du scénario.
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