Maureen Louys : «L’Eurovision, c’est un petit biscuit en plus !» (interview)
Après «The Voice», Maureen Louys reprend du service pour l’Eurovision. Une parenthèse en fin de saison qu’elle aprécie particulièrement.
Ce jeudi soir, la Belgique tentera de défendre sa place en finale. En attendant le direct à 21 heures, la RTBF propose de revenir sur les derniers concurrents belges du Concours. Et surprise : ils sont tous passés par «The Voice» !
L’occasion est trop belle de demander à Maureen Louys son sentiment sur les ponts entre les deux télécrochets.
Quel souvenir gardez-vous de Roberto Bellarosa ?
C’est la toute première saison, donc des découvertes pour tout le monde. L’effervescence était énorme et on découvrait le programme. C’est lui qui a clôturé en beauté, je l’associe aux débuts de l’aventure.
Et Loïc Nottet ?
L’Eurovision, c’est un peu un petit biscuit en plus ! C’est dense aussi parce que c’est une semaine complète d’immersion et de révision de la bio de chaque candidat. C’est un moment de l’année que j’adore.
Présenter l’Eurovision pour de vrai, sur scène, ça vous tente ?
Oh oui, et avec Jean-Louis ! J’étais tellement contente de l’avoir fait déjà en 2005, à Hasselt, pour l’édition junior. C’est une grosse machine et c’est très stressant aussi. Présenter dans sa langue, c’est facile, mais en anglais, c’est autre chose, surtout en direct.
Entretien : Pierre Bertinchamps
Je suis fière et ça me donne des frissons. Quand on a eu Roberto, Loïc et aussi Axel, et bien je vibre encore plus quand ils sont sur la scène de l’Eurovision. Je les connais, c’est une dimension supplémentaire.
«The Voice» est devenu un tremplin européen pour l’Eurovision ?
C’est devenu un running gag avec Jean-Louis Lahaye dans les commentaires, mais il y a bien 30% des participants qui sont issus de «The Voice». D’ailleurs la candidate belge de cette année, Laura Tesoro est passée par «The Voice Vlaanderen». J’ai envie de dire que l’Eurovision est un «The Voice International» ! Avec un peu de kitscherie en plus qui fait son charme.
Pas de «The Voice Belgique» pour booster les audiences, cette année…
C’est vrai que l’Eurovision a eu un regain d’intérêt grâce à «The Voice» (ndlr : version RTBF) parce que c’était le prolongement de l’aventure de nos talents sur la scène internationale. Les audiences étaient top. Je pense que maintenant, le public attend ce rendez-vous, et j’espère qu’il répondra présent. Même si notre représentante ne sort pas de l’émission de la RTBF, cette fois, il y a ce soirée familiale qu’il faut suivre. En fait, l’Eurovision, c’est un grand divertissement, un peu comme le propose aussi «The Voice». On a renoué avec le côté show. C’est le retour de l’artiste et du chanteur qui se présente devant le téléspectateur, et sur scène. Je suis super-excitée de retravailler avec Jean-Louis Lahays, qu’il y ait un talent de «The Voice Belgique» ou pas… L’idée de notre duo n’est pas de se moquer mais de guider le téléspectateur.
Ce n’est pas trop difficile d’enchaîner avec l’Eurovision après une saison intense de «The Voice» ?
L’Eurovision, c’est un peu un petit biscuit en plus ! C’est dense aussi parce que c’est une semaine complète d’immersion et de révision de la bio de chaque candidat. C’est un moment de l’année que j’adore.
Présenter l’Eurovision pour de vrai, sur scène, ça vous tente ?
Oh oui, et avec Jean-Louis ! J’étais tellement contente de l’avoir fait déjà en 2005, à Hasselt, pour l’édition junior. C’est une grosse machine et c’est très stressant aussi. Présenter dans sa langue, c’est facile, mais en anglais, c’est autre chose, surtout en direct.
Entretien : Pierre Bertinchamps
Ses performances de fou sur scène ! Il y a aussi un duel où il a sorti des dollars de sa poche alors que BJ Scott n’était pas au courant… C’est tout le charme de Loïc. Il est imprévisible, et c’est pour ça qu’on l’aime. Il a vraiment marqué cette saison 3, et dès les blinds. Je le souviens de son «Diamond» de Rihanna…
Vous avez été surpris de voir le nom de Laurent Pagna dans l’enveloppe cette année-là…
Que l’on gagne «The Voice» ou pas, si on a quelque chose en plus, ça marche. C’est valable aussi pour Alice On The Roof. Ils ont fait beaucoup de progrès en peu de temps, et surtout ils ont appris à gérer les médias. Alice, j’ai été super émue de la revoir dans les lives. Je reconnais que c’est un peu une fierté quand on voit ce que deviennent des candidats. En plus, c’est un format qui a vraiment sa place sur la RTBF.
Et quand vous commentez l’Eurovision, il y aussi une petite fierté ?
Je suis fière et ça me donne des frissons. Quand on a eu Roberto, Loïc et aussi Axel, et bien je vibre encore plus quand ils sont sur la scène de l’Eurovision. Je les connais, c’est une dimension supplémentaire.
«The Voice» est devenu un tremplin européen pour l’Eurovision ?
C’est devenu un running gag avec Jean-Louis Lahaye dans les commentaires, mais il y a bien 30% des participants qui sont issus de «The Voice». D’ailleurs la candidate belge de cette année, Laura Tesoro est passée par «The Voice Vlaanderen». J’ai envie de dire que l’Eurovision est un «The Voice International» ! Avec un peu de kitscherie en plus qui fait son charme.
Pas de «The Voice Belgique» pour booster les audiences, cette année…
C’est vrai que l’Eurovision a eu un regain d’intérêt grâce à «The Voice» (ndlr : version RTBF) parce que c’était le prolongement de l’aventure de nos talents sur la scène internationale. Les audiences étaient top. Je pense que maintenant, le public attend ce rendez-vous, et j’espère qu’il répondra présent. Même si notre représentante ne sort pas de l’émission de la RTBF, cette fois, il y a ce soirée familiale qu’il faut suivre. En fait, l’Eurovision, c’est un grand divertissement, un peu comme le propose aussi «The Voice». On a renoué avec le côté show. C’est le retour de l’artiste et du chanteur qui se présente devant le téléspectateur, et sur scène. Je suis super-excitée de retravailler avec Jean-Louis Lahays, qu’il y ait un talent de «The Voice Belgique» ou pas… L’idée de notre duo n’est pas de se moquer mais de guider le téléspectateur.
Ce n’est pas trop difficile d’enchaîner avec l’Eurovision après une saison intense de «The Voice» ?
L’Eurovision, c’est un peu un petit biscuit en plus ! C’est dense aussi parce que c’est une semaine complète d’immersion et de révision de la bio de chaque candidat. C’est un moment de l’année que j’adore.
Présenter l’Eurovision pour de vrai, sur scène, ça vous tente ?
Oh oui, et avec Jean-Louis ! J’étais tellement contente de l’avoir fait déjà en 2005, à Hasselt, pour l’édition junior. C’est une grosse machine et c’est très stressant aussi. Présenter dans sa langue, c’est facile, mais en anglais, c’est autre chose, surtout en direct.
Entretien : Pierre Bertinchamps
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