Le vin, ça se boit… et ça rapporte !
Il existe bel et bien un marché spéculatif du vin, qui se renforce au fur et à mesure que les nouveaux riches de Chine ou d’ailleurs se passionnent pour l’œnologie lucrative.
Mais
ce n’est pas en remplissant votre chariot de bouteilles dans un
supermarché et en les laissant vieillir dans votre cave qu’il va
spécialement s’enrichir. Le marché répond à plusieurs règles.
Uniquement ceux qui ont la cote
Les vins dits spéculatifs ne concernent finalement qu’un petit nombre de références, quelques dizaines à peine. À Bordeaux, il s’agit par exemple des Petrus, Pavie, Angélus, etc. La Bourgogne se distingue avec des Romanée-Conti, Leflaive, Coche-Dury, etc.
Placement tranquille
La rentabilité à court terme n’existe pas dans le domaine du vin. La durée de garde varie de trois à dix ans. Les spécialistes conseillent de faire comme en bourse et de diversifier les marques à fort potentiel et les millésimes. Ils estiment que l’investissement spéculatif débute à partir de 200 bouteilles.
Une cave, comme à la banque
Une solution est de confier sa cave à des sociétés spécialisées. Elles vont la gérer comme un portefeuille et même dresser un profil d’investisseur. Ce «portefeuille» sera piloté en fonction des possibilités de revente et de l’évolution du marché. Le vin sera stocké dans une cave protégée. Bien entendu, ce service a un coût…
Retrouvez l’article complet dans votre Télépro de ce jeudi 16 octobre !
Christel Adrien
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