Le nouveau «SimCity» divise les fans
Le «reboot» du jeu de gestion urbaine essuie les plâtres sur PC.
L’éditeur américain Electronic Arts joue gros. Dix ans après l’estimé «SimCity 4», le dernière épisode réussi de la série, son studio Maxis relance la franchise de zéro. Disponible en Europe sur PC à partir du jeudi 7 mars 2013, «SimCity» (51,99 €) divise déjà les joueurs américains et les critiques. Première pierre d’achoppement : le jeu de gestion urbaine, qui vous place à la tête de plusieurs villes, vous oblige à être constamment connecté à Internet. Peu importe que vous jouiez exclusivement en solo, la connexion permanente est obligatoire. Comme de coutume en pareils circonstances, les serveurs sont surchargés aux USA. Trente minutes d’attente sont nécessaires pour entamer sa partie. Frustant ! Le titre s’attire aussi les foudres des critiques. En cause, la taille réduite des cartes, le comportement irrationnel des habitants ou encore le déluge d’événements fortuits qui détruit régulièrement l’une de vos cités.
Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici