La cuvée 2012 de la série guerrière surprend par l’intensité de son scénario.
C’est une tradition annuelle. En novembre, l’éditeur américain Activision publie le nouvel épisode de sa série guerrière «Call of Duty». Avec la régularité d’un métronome, la série pulvérise systématiquement les chiffres de vente, de 4,5 millions d’exemplaire pour «Call of Duty Finest Hour» en 2004 à 26,5 millions d’unités de «Call of Duty Modern Warfare 3» en 2011. Cette fois, c’est au tour du spin-off «Black Ops» de prendre le relais. Avec une campagne audacieuse partagée entre les années 80 et l’année 2025, «Call of Duty Black Ops II» débarque sur PS3 (59,99 €), Xbox 360 (59,99 €) et PC (49,99 €). La critique francophone est séduite. Le titre récolte 7/10 sur le site Gamekult, une cote de 7/10 sur le site jeuxvideo.fr, une note de 4/5 sur le site Gameblog, et un bon 17/20 sur le site jeuxvideo.com. Malgré un moteur graphique vieillissant qui affiche ses limites, «Black Ops II» propose une histoire dense, ponctuée de décisions qui influenceront la scène finale. Six fins sont prévues et dépendent des choix que vous poserez.
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