La Traversée de Paris by Télépro
La rentrée pour les «Voyages Télépro», c’est un départ en vacances. Cette année, Paris fut notre lieu de villégiature. Et comme il fallait être sérieux, nous nous sommes bien amusés !
Première étape sur la route de la Ville lumière
Auvers-sur-Oise, ravissante petite commune champêtre qui inspira à Van Gogh près de septante de ses plus belles œuvres et où il acheva sa vie. En sirotant une bière – belge – juste en face de l’auberge Ravoux où sa chambre est encore remplie de lui, les voyageurs que nous sommes ont vu de leurs yeux ce que l’expressionniste a brossé sur la toile. Puissant ! Juste le temps de s’imprégner des lieux et de se prendre pour les artistes qui se sont succédé à Auvers qu’il était temps de repartir. Soit.
Arrêt suivant : Mériel
Le lieu où résonnent des morceaux de vies imaginées par les plus grands réalisateurs : «T’as d’beaux yeux, tu sais», «Salauds de pauvres !», «Jaaaaaambiiiieeeeeeer», «Quand on mettra les cons sur orbite, t’as pas fini de tourner»… Mériel est la ville de Jean Gabin, celle où il passa son enfance. Là aussi, nous avons foulé les pavés, les trottoirs, les marches de la petite église que l’acteur a arpentés. Un musée y retrace sa vie et sa formidable carrière. Puis, le soir, à Paris-Bercy, repas dans la cour Saint-Émilion, mini-village où boire un verre entre amis est érigé en institution. Bien manger aussi ! De fait, la soirée s’est terminée dans les parfums de curry et la couleur rubiconde de flacons de vin, à évoquer les souvenirs émouvants de la journée.
L’après-midi, Paris s’offrait à nous
Les grandes avenues, les boutiques, les terrasses animées, les Parisiens pressés quand nous avions le temps de nous balader sur l’avenue, le cœur ouvert à l’inconnu… Et de goûter à l’aventure avant de plonger dans une cave voûtée de la montagne Sainte-Geneviève pour un repas savouré au son de l’accordéon. Et de finir la soirée, immergés dans un son et lumière spectaculaire retraçant l’histoire de France sur la façade des Invalides. À l’intérieur de l’édifice, le tombeau de Napoléon éclairé de centaines de bougies, créait une ambiance toute solennelle. La nuit avait, depuis longtemps, pris possession de Paris. Il fallait rentrer. Le lendemain matin, dernier de notre périple joyeux, le jour était bien avancé quand le Paris des Lumière s’est donné à nous. Des frères Lumière s’entend. Trois heures d’histoires passionnantes sur la naissance du cinéma et les endroits où elles se sont produites, guidés par une voix charmantes et une connaissance encyclopédique. Repas – pour ceux qui le souhaitaient – au Bouillon Chartier, la fameuse brasserie historique chantée par Fernandel dans «Félicie», flânerie parisienne, puis retour au car. Trois jours venaient de s’écouler. Mollement trépidants, profondément légers… Enfin bref, c’était chouette.
Découvrez la vidéo de ce voyage ci-dessous
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Le lendemain, place aux choses sérieuses : On est là pour s’amuser !
L’enregistrement des «Grosses têtes» (RTL), dans le studio de la rue Bayard, où Laurent Ruquier dirige d’une main ferme la conduite de l’émission et ses invités, Valérie Mairesse, Agathe Lecaron, Elie Semoun, Laurent Baffie et Florian Gazan. Deux heures de pure allégresse, de légèreté moqueuse, de bons mots empreints, parfois, d’esprit gaulois. C’est peu dire…
L’après-midi, Paris s’offrait à nous
Les grandes avenues, les boutiques, les terrasses animées, les Parisiens pressés quand nous avions le temps de nous balader sur l’avenue, le cœur ouvert à l’inconnu… Et de goûter à l’aventure avant de plonger dans une cave voûtée de la montagne Sainte-Geneviève pour un repas savouré au son de l’accordéon. Et de finir la soirée, immergés dans un son et lumière spectaculaire retraçant l’histoire de France sur la façade des Invalides. À l’intérieur de l’édifice, le tombeau de Napoléon éclairé de centaines de bougies, créait une ambiance toute solennelle. La nuit avait, depuis longtemps, pris possession de Paris. Il fallait rentrer. Le lendemain matin, dernier de notre périple joyeux, le jour était bien avancé quand le Paris des Lumière s’est donné à nous. Des frères Lumière s’entend. Trois heures d’histoires passionnantes sur la naissance du cinéma et les endroits où elles se sont produites, guidés par une voix charmantes et une connaissance encyclopédique. Repas – pour ceux qui le souhaitaient – au Bouillon Chartier, la fameuse brasserie historique chantée par Fernandel dans «Félicie», flânerie parisienne, puis retour au car. Trois jours venaient de s’écouler. Mollement trépidants, profondément légers… Enfin bref, c’était chouette.
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