En juillet, l’antique console portable sera de retour en version blanche.
Horriblement dispendieuse, la PlayStation Vita peine à décoller. La crise est mondiale. Plombée par son addition (249 €), la console portable de Sony ne trouve pas son public. Conséquence : son ancêtre prolonge sa fructueuse carrière entamée en décembre 2004 au Japon, en septembre 2005 en Europe. Soucieux d’exploiter le filon jusqu’à son extinction, le géant japonais pousse le vice jusqu’à éditer une nouvelle version de la PSP. Dès juillet, la PSP Ice White arborera une robe blanche. Le changement est uniquement esthétique. Ecoulée contre 99 €, cette édition spéciale exploite l’architecture du modèle PSP-E1000, expurgée du son stéréo et de la connexion sans fil Wi-Fi. Cette machine est donc privée de toutes les options en lignes, que ce soit les parties à plusieurs et le téléchargement de jeux et d’applications sur le PlayStation Store.
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