À quelques heures de la répétition qui comptera pour le vote des jurys, la cote de notre représentante descend en flèche.
Après l’euphorie des votes des fans OGAE, fin avril, la folle ambiance est retombée au sein de la délégation belge à l’Eurovision. La pression est de plus en plus forte pour Blanche.
Ce lundi matin, les premiers pronostics sont tombés. Les fans sur place (attention ce ne sont pas tous les mêmes qui ont voté lors des résultats des clubs OGAE) font descendre «City Lights» à la 11e place ! Au petit jeu de l’Ultratop, elle perdrait donc 9 places. Sur 18, ce n’est pas rien ! Blanche ne passerait donc pas le cap de la 1/2 finale.
Mais pourquoi une telle chute ? Depuis les premières répétitions, Blanche ne semble pas dégager grand chose de sa chanson. On la sent très stressée et la voix en prend un coup. De plus, la performance scénique vue dans «The Voice Belgique», le 18 avril dernier, n’a convaincu personne. D’ailleurs, la chorégraphie des deux danseuses a été sucrée. Elles feront juste du «back vocal» en coulisse pour soutenir Blanche.
Sur place, l’ambiance n’est pas si excellente que le laissait transparaître la délégation belge, lors de la cérémonie d’ouverture, dimanche soir. Mais la RTBF ne perd pas espoir : en 2013, Roberto Bellarosa avait lui aussi raté ses répétitions, mais ensuite, le Liégeois avait proposé une prestation excellente lors du direct. Ce qui lui a valu une 5e place de sa 1/2 finale, à Malmö. À Kiev, on espère que Blanche aura ce même déclic…
À quelques heures du «jury show» (la répétition générale, ce lundi soir), tout n’est pas encore perdu pour la Belgique, mais il est acquis qu’on ne rêve plus à une 2e place en finale, cette année…
De notre envoyé spécial à Kiev : Pierre Bertinchamps
Mais pourquoi une telle chute ? Depuis les premières répétitions, Blanche ne semble pas dégager grand chose de sa chanson. On la sent très stressée et la voix en prend un coup. De plus, la performance scénique vue dans «The Voice Belgique», le 18 avril dernier, n’a convaincu personne. D’ailleurs, la chorégraphie des deux danseuses a été sucrée. Elles feront juste du «back vocal» en coulisse pour soutenir Blanche.
Sur place, l’ambiance n’est pas si excellente que le laissait transparaître la délégation belge, lors de la cérémonie d’ouverture, dimanche soir. Mais la RTBF ne perd pas espoir : en 2013, Roberto Bellarosa avait lui aussi raté ses répétitions, mais ensuite, le Liégeois avait proposé une prestation excellente lors du direct. Ce qui lui a valu une 5e place de sa 1/2 finale, à Malmö. À Kiev, on espère que Blanche aura ce même déclic…
À quelques heures du «jury show» (la répétition générale, ce lundi soir), tout n’est pas encore perdu pour la Belgique, mais il est acquis qu’on ne rêve plus à une 2e place en finale, cette année…
De notre envoyé spécial à Kiev : Pierre Bertinchamps
Chez les journalistes, les avis sont moins percutants : notre compatriote terminerait 7e de sa 1/2 finale. Suède, Finlande et Portugal seraient dans le top 3. Des choix logiques. La combinaison des deux votes (7 points des fans et 49 points de la presse) donne une 7e place générale à la candidate bruxelloise.
Mais pourquoi une telle chute ? Depuis les premières répétitions, Blanche ne semble pas dégager grand chose de sa chanson. On la sent très stressée et la voix en prend un coup. De plus, la performance scénique vue dans «The Voice Belgique», le 18 avril dernier, n’a convaincu personne. D’ailleurs, la chorégraphie des deux danseuses a été sucrée. Elles feront juste du «back vocal» en coulisse pour soutenir Blanche.
Sur place, l’ambiance n’est pas si excellente que le laissait transparaître la délégation belge, lors de la cérémonie d’ouverture, dimanche soir. Mais la RTBF ne perd pas espoir : en 2013, Roberto Bellarosa avait lui aussi raté ses répétitions, mais ensuite, le Liégeois avait proposé une prestation excellente lors du direct. Ce qui lui a valu une 5e place de sa 1/2 finale, à Malmö. À Kiev, on espère que Blanche aura ce même déclic…
À quelques heures du «jury show» (la répétition générale, ce lundi soir), tout n’est pas encore perdu pour la Belgique, mais il est acquis qu’on ne rêve plus à une 2e place en finale, cette année…
De notre envoyé spécial à Kiev : Pierre Bertinchamps
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