Dès ce vendredi 23 décembre, «L’Armée Terracotta» débarque sur Liège

Dès ce vendredi 23 décembre, «L'Armée Terracotta» débarque sur Liège
Julien Vandevenne
Julien Vandevenne Rédacteur en chef adjoint

À peine l’expo Dali terminée, la gare des Guillemins accueille un tout autre univers ! Avec «Terracotta, l’héritage de l’Empereur chinois éternel», l’équipe d’Europa 50 nous invite à la découverte d’un site archéologique majeur de la Chine naissante, constitué de statues de terre cuite exceptionnelles.

Une première en Belgique

Après le succès de foule rencontré par l’exposition consacrée au peintre Salvador Dali en 2016 (180.000 visiteurs !), la gare de Liège-Guillemins change radicalement d’époque pour 2017, en se penchant sur l’histoire de la Chine antique !

Pour la première fois, l’équipe d’Europa 50 («SOS Planet», «Golden Sixties»…) ne proposera pas une expo «maison» : ce nouveau parcours a été mis sur pied par les Allemands de la société «All in One» en 2002. Depuis, plus d’un million de visiteurs à travers l’Europe (principalement en Autriche et en Allemagne) ont pu le contempler. Pour la première fois, les Belges vont pouvoir le découvrir !

Il est a noté que c’est au cours d’un voyage en 1997 que le Welkenradtois avait imaginé importer une telle exposition jusqu’en Belgique. Son souhait va désormais s’exaucer et confirme l’excellente réputation que s’est forgée Europa 50 aux quatre coins du globe.

Loïc Dinon

Cliquez ici pour les détails pratiques à propos de l’expo Terracotta

Gage de qualité, les concepteurs de cette exposition ont reçu l’approbation du gouvernement chinois afin de réaliser, dans un atelier proche du site d’origine, les copies fidèles aux originales. La majorité d’entre-elles mesurent 1 mètre 80 et pèsent plus de 200 kilos.

Et après ?

Europa 50 a aussi d’autres projets dans ses cartons puisque le 23 septembre 2017 sera inauguré «J’aurai 20 ans en 2030», organisé dans le cadre du bicentenaire de l’Université de Liège.

Entre la clôture de l’exposition Dali et celle sur les nouvelles technologies (13 mois) «c’était un peu long et nous avons saisi cette opportunité d’avoir une expo de très grande qualité comme Terracotta. Je crois qu’à l’avenir, il faudra qu’on y pense un peu plus car faire nos expositions est naturellement très onéreux et difficile à monter», insiste l’habituel commissaire René Schyns.

Il est a noté que c’est au cours d’un voyage en 1997 que le Welkenradtois avait imaginé importer une telle exposition jusqu’en Belgique. Son souhait va désormais s’exaucer et confirme l’excellente réputation que s’est forgée Europa 50 aux quatre coins du globe.

Loïc Dinon

Cliquez ici pour les détails pratiques à propos de l’expo Terracotta

Copies conformes

L’exposition se base sur l’une des découvertes archéologiques majeures du XXe siècle : le site funéraire du premier Empereur chinois, Qin Shi Huang Di (-247 à -221 avant J.-C.), à qui l’on doit également la Grande Muraille. Sa particularité ? Des milliers de soldats sont représentés par des statues grandeur nature en terre cuite.

Pour l’heure, 1.800 spécimens ont été déterrés sur ce site considéré par de nombreux spécialistes comme la huitième merveille du monde. 

À Liège, du 23 décembre 2016 au 23 avril 2017, une épatante fresque historique sur plus de 1.200m² présentera pas moins de 250 pièces grandeur nature, réparties en onze thèmes accompagnés de maquettes, graphiques et textes explicatifs.

Gage de qualité, les concepteurs de cette exposition ont reçu l’approbation du gouvernement chinois afin de réaliser, dans un atelier proche du site d’origine, les copies fidèles aux originales. La majorité d’entre-elles mesurent 1 mètre 80 et pèsent plus de 200 kilos.

Et après ?

Europa 50 a aussi d’autres projets dans ses cartons puisque le 23 septembre 2017 sera inauguré «J’aurai 20 ans en 2030», organisé dans le cadre du bicentenaire de l’Université de Liège.

Entre la clôture de l’exposition Dali et celle sur les nouvelles technologies (13 mois) «c’était un peu long et nous avons saisi cette opportunité d’avoir une expo de très grande qualité comme Terracotta. Je crois qu’à l’avenir, il faudra qu’on y pense un peu plus car faire nos expositions est naturellement très onéreux et difficile à monter», insiste l’habituel commissaire René Schyns.

Il est a noté que c’est au cours d’un voyage en 1997 que le Welkenradtois avait imaginé importer une telle exposition jusqu’en Belgique. Son souhait va désormais s’exaucer et confirme l’excellente réputation que s’est forgée Europa 50 aux quatre coins du globe.

Loïc Dinon

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