3 bonnes raisons de devenir végétarien !
Arrêter de manger de la viande ou diminuer sa consommation est un choix de plus en plus répandu. Voici le top trois des motivations qui expliquent cette décision.
Le Belge consomme près de 20 kg de viande par an. En 50 ans, la production de viande au niveau mondial a été multipliée par cinq. Pourtant, végétarien et «flexitariens», à savoir les amateurs de bidoche qui décident de diminuer leur consommation, sortent du bois.
Pour argumenter leur décision, les végétariens mettent en avant les effets bénéfiques d’un tel régime. Découvrez-en trois.
La réalité toute crue
Si certains décident de diminuer leur consommation, d’autres disent définitivement adieu à la viande. Souvent, c’est la souffrance animale qui est au cœur de ce choix. Il faut dire que les diverses vidéos de l’association L214, qui dénoncent le traitement réservé au bétail dans les abattoirs, ont de quoi rendre le rayon fruits et légumes très attractif.
Dans ce cas, il s’agit d’un choix éthique. En stoppant sa consommation de viande, les végétariens, végétaliens, véganes… contribuent à améliorer le traitement des animaux. Moins la demande de viande sera grande, moins les animaux seront soumis aux cadences de l’élevage industriel. Le marché alimentaire a bien saisi la mouvance, et les alternatives à base de soja, de froment et d’autres protéines fleurissent dans les supermarchés.
Plus que notre corps, la viande aurait également un effet sur notre santé mentale. C’est une étude fouillée, publiée dans la revue «British Journal of Nutrition», qui le dit : «Par son caractère pro-inflammatoire, la viande augmenterait de 20 % le risque de dépression». Comment, dès lors, éviter le coup de blues via son alimentation ? En remplaçant la cochonnaille par des fruits, des légumes, des produits de la mer, des céréales complètes, des noix et autres oléagineux.
Alice Kriescher
P.S. : dans la nuit du mardi 26 (17 heures) au mercredi 27 septembre (5 heures), l’asbl SEA (Suppression des Expériences sur l’Animal) organise la 2e édition de la «Nuit debout» devant l’abattoir d’Aubel. Un manifestation pacifique et silencieuse. Cliquez ici pour plus d’infos
Pour produire 1 kg de bœuf, pas moins de 15.500 litres d’eau sont nécessaires, quand 1 kg de carottes n’en demande que 131. L’agriculture est aussi responsable de 70 % de la déforestation, pour laisser place aux pâturages et cultiver le blé, le maïs et le soja OGM, destinés à nourrir… le bétail.
Dites « Bifteck »
En octobre 2015, le Centre international de recherche sur le cancer, une agence de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), a jeté un pavé dans la mare. Dans un document mis en ligne et publié dans la revue médicale «The Lancet Oncology», le CIRC classe la viande rouge dans les aliments «probablement cancérogènes pour l’homme», la viande transformée est quant à elle répertoriée comme «cancérogène pour l’homme».
Plus que notre corps, la viande aurait également un effet sur notre santé mentale. C’est une étude fouillée, publiée dans la revue «British Journal of Nutrition», qui le dit : «Par son caractère pro-inflammatoire, la viande augmenterait de 20 % le risque de dépression». Comment, dès lors, éviter le coup de blues via son alimentation ? En remplaçant la cochonnaille par des fruits, des légumes, des produits de la mer, des céréales complètes, des noix et autres oléagineux.
Alice Kriescher
P.S. : dans la nuit du mardi 26 (17 heures) au mercredi 27 septembre (5 heures), l’asbl SEA (Suppression des Expériences sur l’Animal) organise la 2e édition de la «Nuit debout» devant l’abattoir d’Aubel. Un manifestation pacifique et silencieuse. Cliquez ici pour plus d’infos
Mais notre corps peut-il réellement se passer de sa dose de chair ? D’après les professionnels de la santé, le régime végétarien ne pose par de problème nutritionnel majeur. La prise d’éventuels compléments de fer et de vitamines B12 sont suffisants pour éviter les carences. Cependant, si vous prenez la décision d’arrêter la viande, n’hésitez pas à en parler avec votre médecin ou à un nutritionniste spécialisé.
L’empreinte de la viande
Manger moins de viande permet de réduire son empreinte carbone ! En 1985, une association américaine de protection de la nature crée la Journée internationale sans viande. Depuis, tous les 20 mars, certains décident de mettre en sourdine leurs désirs carnassiers. Avec cette action, l’association a voulu mettre en lumière le traitement réservé aux animaux d’élevage intensif et souligner l’impact de la production de viande sur l’environnement.
Pour produire 1 kg de bœuf, pas moins de 15.500 litres d’eau sont nécessaires, quand 1 kg de carottes n’en demande que 131. L’agriculture est aussi responsable de 70 % de la déforestation, pour laisser place aux pâturages et cultiver le blé, le maïs et le soja OGM, destinés à nourrir… le bétail.
Dites « Bifteck »
En octobre 2015, le Centre international de recherche sur le cancer, une agence de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), a jeté un pavé dans la mare. Dans un document mis en ligne et publié dans la revue médicale «The Lancet Oncology», le CIRC classe la viande rouge dans les aliments «probablement cancérogènes pour l’homme», la viande transformée est quant à elle répertoriée comme «cancérogène pour l’homme».
Plus que notre corps, la viande aurait également un effet sur notre santé mentale. C’est une étude fouillée, publiée dans la revue «British Journal of Nutrition», qui le dit : «Par son caractère pro-inflammatoire, la viande augmenterait de 20 % le risque de dépression». Comment, dès lors, éviter le coup de blues via son alimentation ? En remplaçant la cochonnaille par des fruits, des légumes, des produits de la mer, des céréales complètes, des noix et autres oléagineux.
Alice Kriescher
P.S. : dans la nuit du mardi 26 (17 heures) au mercredi 27 septembre (5 heures), l’asbl SEA (Suppression des Expériences sur l’Animal) organise la 2e édition de la «Nuit debout» devant l’abattoir d’Aubel. Un manifestation pacifique et silencieuse. Cliquez ici pour plus d’infos
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